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huitième époque.

Penses-tu quelquefois que tu troubles cette onde
Qui, sous un souffle humain bien loin de se ternir,
Ne devait réfléchir au soleil de ce monde
          Qu’un espoir et qu’un souvenir ?


Ah ! moi qui te voyais dans mes songes, Laurence,
À travers tant de pleurs, chaste auprès d’un époux,
Une ombre sur le front, au cœur une espérance,
          Et des enfants sur tes genoux !…

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