Page:Lamartine - Œuvres complètes de Lamartine, tome 5.djvu/374

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Quand, assise le soir au bord de ta fenêtre,
Devant un coin du ciel qui brille entre les toits,
L’aiguille matinale a fatigué tes doigts,
Et que ton front comprime une âme qui veut naître.