Page:Lamartine - Le tailleur de pierres de Saint-Point, ed Lecou, Furne, Pagnerre, 1851.djvu/297

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ajouta-t-elle en pleurant, une seconde fois le fiancé de Denise ?

Ah ! que oui, répondis-je, ma mère ! Si Denise ne me méprise pas, à présent qu’elle m’a vu sous ces habits de mendiant, je resterai, je ne m’en irai plus jamais ; j’aimerai ces petits comme les fils de mon frère et comme les miens ; j’aimerai Denise comme je l’ai aimée toujours et comme elle consentira que je l’aime.