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LA MOISSON NOUVELLE


ALBERT LOZEAU




Tous les oiseaux du ciel devaient le reconnaître
A son regard profond qui perçait la fenêtre,
Lui dont l’âme n’était qu’un hymne à la beauté !…
Chez lui je vins, un jour au début de l’été.
En franchissant le seuil de cet autre Coppée
A la porte je fus tout de suite frappée
Par les traits de cet ange aux gestes consolants :
Sa mère, une admirable femme aux cheveux blancs !…