dratures correspondantes dans lesquelles le demi-diamètre de la Lune surpassait 
minutes, les retards des marées tant du matin que du soir, depuis le jour même de la quadrature jusqu’aux troisièmes marées correspondantes qui les suivent, et j’ai trouvé 
pour la somme de ces retards. La somme des demi-diamètres lunaires était de 
secondes dans les onze premières quadratures, et de 
secondes dans les onze dernières ; ainsi 
secondes d’accroissement dans la somme de ces demi-diamètres ont produit 
d’accroissement dans la somme de ces retards, d’où il résulte qu’une minute d’accroissement dans le demi-diamètre de la Lune produit 
secondes d’accroissement dans le retard des marées d’un jour à l’autre vers les quadratures, accroissement qui est à très-peu près le tiers de celui qui correspond à la même variation du demi-diamètre lunaire dans les syzygies, et qui, par le no 37, est de 
secondes.
Par le numéro cité, le retard des marées d’un jour à l’autre vers les syzygies est
en supposant 
l’accroissement du retard des marées, correspondant à la diminution 
sera
étant le retard moyen des marées d’un jour à l’autre vers les syzygies. On trouvera de la même manière, par le no 37,
pour l’accroissement du retard des marées correspondant à 
