Page:Larousse - Grand dictionnaire universel du XIXe siècle - Tome 11, part. 2, Molk-Napo.djvu/230

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Déploration de Vénus sur le bel Adonis (Lyon, 1548), recueil de chansons, réédité sous le titre déLivre dé plusieurs pièces (Lyon, 1549) ; la Couronne marftttritique et plusieurs autres œuvres, dans- les Illustrations dés Gaulés, etc. Parmi’ ses traductions’ nou3 mentionnerons : le Mamiel d’Eviétélè (Lyon, 'ISA*) ; le Livre dés.augui’es et divinations d’Auij’ustin Niphus (Lyon, 1546) ; la Chiromancie et physionomie naturelle de i. de Iridugine (Lyon, 1549) ; la Venu, et propriété de la Quintessence, par J. de Rnpeseissa (Lyon, 1549). Enfin, ’on lui doit des’ éditions’rares et’rè.ch’erchéès- dès Œuvres’ de£onavénluré Despérriers-{ïsi4)1 ; dés Contes et’nouvelles au mênié(1558)’ ; dé lii 'Fontainédès amoureux dé sciencede :Jeàn’de L’a Fontaine (1547) ; dés Œuvres de Clément Màrot (1346)’, étct" ’.- ""’"■ ■••-• ;’■' jMOULIN (Gabriel, du), .hisj’tbrien français, —lié, à Bernay (Normandie), mort/vers 1160. Il fut curé à Mannexille et composa sur. sa province natale deux, ouvrages estimés : ÉLis■ toire générale de Normandie, contenant lès

choses, mémorqbles advenu.es depuis les premières courses -des.-Normands païens jusqu’à’ta

.réunion de cette province à la couronne (Rouen, 1631, in-fol.), dans laquelle on trouve beaucoup de particularités curieuses ; les Conquêtes elles trophées des Normands français aux royaumes, de Naples e.l de Sicile, aix^duchés de. Calabre, d’Aiilioche, de Galilée et attires

principautés d’Italieet d’Orient (Rouen, 1658, —iu-fol.)... •■ ■- L, ..., lr[l, , ■.’., .

" MOULIN (Jean-Françdis-Àùguste).général^français, membre du directoire exécutif, lié

à Ca’en en 1152, mort en 1810. Il était ingénieur

à l’intendance de Paris lorsque éclata la Révolution : Il adopta avec ’chaleur’lés idées nouvelles, s’enrôla eh-1791, devint adjudant général dès l’année suivante, fut envoyé dans. les départements dé l’Ouest’"pour Coin battre les Vendéens, se signala lérs de la pri$édéSaomiir’1par ces’dK’^iier : sl, en protégeant là’ retraite.des républicains et en arrêtant l’ennemi pendant’ six’ heures, ’battit complètement les’royalistes à Doué (5 août 1703), ’fut alors proinu général dé brigade.et peu après ooinma’hdàiit de SàumurT’A’la fin dé cette même ririnéè ;’pendant laquellé il. n’avait cessé ’dé’donner des preuves de sa valeur, .ïl’rèçut le £ràtié de général dé’divi- ; sîon, puis fut successivement généralèn chçf de l’armée, des1 côtes de Brest, dV l’année dés Alpes’(1794), ’ commandant de la-division militaire de Strasbourg, — commandant en- chef de l’armée française en Hollande (1797), commandant dé la 17e division militaire (Paris), Jgénéral’eri chef dé l’armée d’Angleterre (1793). Quand sortirent’ d.u"’diréctoire Merlin’, Treilhard ’ et’ Làrèvellière-Lépeaux’, le généralMoulin, appelé a en faire partié(1SJ juin 1799) ; y, forma livét Gohjer’la minorité franchement républicaine. Renversé par le coup

, /l’V>A+’H, * 10-UU.r.’.«U :L.. /*’..-.’...—.iii...-. .-«..a : if. de-l’armée d’EgypW et fusiller sans délai ;

niais abandonné uarses collègues et dépourvude tout’moyen d’action- ; il ne put mettre à

exécution ce hardi projet. Pendant- quelquetemps il vécut dans’là retraite, ’reprit ensuite Jdu service et mourût gouverneur de la place

« d’Anvers. -•..i

MOULIN (Jean-Baptiste-François), géné. rai français, frerédu précédent, né en,1754,

« naort à Çholet en 1794., II. avait servi’.'peu- ! dant quelques années, puis fait" partié.’.'au

..corps des, ponts et, chaussées, lorsque^au dé-1 but de la, Révolution, il’s’enrôla dénouveau : dans l’armée, ’suivit son frère en.’Vendéé, se ! distingua pur sa valeur’au combat d<vI}oiié et dans div^rses’auifes rencontres avec les

^royalistes, et parvint rapidement aughide ; de eênéra ! de brigade. Attaque par les chouans. ^daiis Cholet, au mois ils février 1784, il "se défendit vigoureusement, fut blessé’dé deux coups, de feu et, lorsqu’il vit qu’il allait’êtré fait’prisonnier, prit un pistolet.et se brûla, la jCerveile. La Convention décréta qu’un’rao-,

’.numeiit serait élevé en sbii honneur, ’av.ee cette inscription ^"«.Républicain, ïi ’se donna.

la mort pour lie pas’ tomber.vivant a’ii’pouvoir dès brigands royalistes’. •, ’ !.*. ’, ’ ', ’ : 1

. MOULIN (Oiiuphre-Bënolt^Claude), .ii’tté-i rateur français, né.près de Lyon en, 1758, mort.dans cette ville en 1823. Pendant longtemps il.exerça la profession d’avoué àLyon, fut destitué en 1895, pour(pffense envers, un magistrat, se Ht remarquer sous lâ’Kest’aura-tion.par.son ardeur..royalistéet.cowposa, àpartir, de 1817, ’iUn assez grand.nombre.de brochures politiques etj.de notices ^biographiques, aussi bizarres sous, le rapport des pensées que.sous.celui du.style. et dans lesquelles on a souvent beaucoup dopeine à-discerner si ce sont des panégyriquesou des satires.  !, ■, i..., .., , rt., . ■M., .l, an..iii., , j, ■t. Nous. nousï bornerons à, citer ; jde lui : lé , Notaire impuissant accusé d adultère.(Lyon, 1791) ; Défense de Joseph Chalier, président . du tribunal du district deLyon (1793) ; Notice . sur M, M artinière, (lais) ; Nécrologie (1819) ;, , 1 Enseignement mutuel dévoilé (Lyon, 1820) ;

Lettre sur la souscription sollicitée, en faveur

des Grecs par les.libérattx (Lyon, 1821) ; Nécrologie de M. Cozon (1822^^-8°)..... ■ ;. ;

MOULIN (Étienne) ; médecin français, ’né à Lénon-la-Bastide (Gironde) en 1795. Reçu docteur à Paris en 1819, il se fixa dans cette ville où il devint chirurgien du collège Louis W1

le-Grand, médecin adjoint de la prison de Bicètre, etc. On lui doit : Traitédel’apoplexie ou hémorragie cérébra le ; Considérations nouvelles sur tes hydrocéphales ; Description d’une hydropisie cérébrale rarement observée (Paris ; 1819 ;-in’-80)v Coursipratigue d’accouchements (iiil’, in-fol.} ; Dudiagnûsiic et- dû’traitement de [l’aménorrhééet des flueurs- blanches^(18î7[ in-Zf>)’-/Mémoire sur- les- inflammations dé poitrine^ leur : nature^ leurs symptômes-et leur traitement (i&î8, :

-&o)-, -Éygiînn-iet traitement du choléra-morbus ; Coup’d’afit historiqùesur le choléra de Paris dé183ï’(in’8o) ; Nouveau’traitement des rétentions d’urine iet des rétrécissements de l’urètre par le éalàétë' 'risme rectiligne^ (Paris, 1834, ’in-8°) :. • wm■>.

., .MOULIN (Lqu.is-H.epri), jurisconsulte français ! n«’à Oçtévjllé-lez-jpheriiburg (Manche) en(,1802."Il ’priCle drplomer’dé’ lioeijJcilé, !, en droit à Uaen, . passa son dpetorat à1 ’paris’en 18,27 et se tixaàiors(lâ’nscét’tè iiernièréville, où il exerça, la’profession d’avocat. Attaché pari ses opinions au parti. iadicàr, x, il fut chargé de plaider ;.dans un grand’ npnib’réde prççes ppiitiqu.es, ’et, "de ^.resse^^nptKmmgnit dans, les affaires de 1^ conspiration’des tours de Notre-Dame, "(1832), de l’a Société .ào’ft flrpï’t’s dél’homme, de Vattentài.du ppnf. Rpyal.’du complot de NeuiHyî. etc. „J’et" défeudit ’en maintes circdnsiâiices devnnt’les.’tribunaux lé Corsaire, lSL’.lVibune, Ï^Némésis’îè Cftarî- tori’j.la Caricature, .etc. Api’è’s |ia p’rqclai’n.ar tion dç’la République, en 1848, M. Moulin fût appelé, au posté d’avoeat’générâl.p^ë’sMa cour de. Paris, poste qu’il çonserva.juspû’au commencement de, ’1849." A.cèlte.’époque, il reprit sa placé au. barreau., putrè’ de.s.articles, insérés dans divers.recueils, M’. Moulin a publia : Plàidoyér’pour la Tribuné ; Procès des JusilsÙisqùet ;.’De l’hérédité du trône fit de, la pairi&(1831), ;’, Prççès à.j’histoire (183.2) ; procès du coup, de pistolet (1833) ;’ V^aliait’ilde

J’àdàptionp’arunprjétrecatholique (1841j, "etc.

—’■'MOULIN (Augustin), professeur & l’institution des Jeunes ’ Aveugles ’de Paris, né à S6tteville-iez-Roueri (Seine-Inférieure)Jetfls64.Aveugle presque dès sa naissance, àl°se lit ’ remarquer’ de bonne^heure par-son’ intelligence faôilé, -par-soh- esprit obsërvutèurét inventif ; par son toucher fin et délicat, : ee^par sén adressé ôtonriaiiiepb’uNes ouvrages ma ■ huelsi’En 1817, il fut admis à l’institution dèsJé’unès’ Avéùglés.i où- il lit des progrès ’ raptdés ; surtout dartsles travaux’manuels* quiexigent dél’adresse et dans là mlisiqtie^il devint, professeur-dans le même étulilissement, dès 1825. M. Moulin’enseigna la-IeG ■ ’titré ; la’grummhir’e ; ’l’aritliinétiaiie, ’la géomé-trie, ’ dirigea des-ateliers pour la ’fabrication de cravailhes, -de tapis dé lisière, -’de chaussons d’e : tricbt sans âigùillesj île c’ouvp’e-pîedë, dé carriassières.’etc, .’ et contribua’beaucoup

•par lénotiibre dèstràvftnx’qu’il’a’ introduits "jdaiis Tiilstiiutibhj’^ii’Q a’enseignés âUx’ êlèvêsj où- qu’il a’ ex’éculéslîii-riiêméavec’ une adresse remarquable ; à faire-bbtenjr»’à l’ôtablissèhient lès médailles qui •li’ii ont-été

accordées aux Kxpositio’ns-’ des : jirdduits ’de l’industrie en 1827, . 1834 et 1839, Qet^i.ngén, ieùx professeur, a inventé, peiféCfaioiiiip etfait exécuter, d’après ses’ indication^’, uij4e « machine pour rogner,1a’ trançhe^deSjlivrés de l’instituiion sniiSrên écruser’.lerrejicf ; il est parvenu a faire établir a un p’rix’^mojns élevé qu’on ne l’avait ft}i’t jusque.-Ià, des penches en cuivre, destinées àrécritureen points "é’t iiiv’éntées’par :Braillé, ’ : plâiïcheS- aa>môyen desquelles on peut’écrfirè des deux.côtés de <’là’ipage, ’sbit dés paroles’, âdit de la niusiquô, ét’ir’es’t arrivé à%tracer les lignas ’BUi-.ces.planches au moyen d’un’ rabOt.’dè’Soh’invention’ ; ■enfin, il-à’ ihventé^une machiné fort siihplé-ét peu dispendieuse, ’au ’moyen’ 'de laquelle les aveugles’ peuvent filer ’des’cor-des itiétallif|ues de tous’les traits. Cette dernière machine Ta amené à’s^éccupér’de récherchesJ’sur-lés-iiistrumèutsà’cordes, ’pur-

ticUlièremënt sur léjliano ; et 41 fut chiirgô, à partir’dé 1836, delà claàsé’ d’accord de : piâ— nos’à l’institution ? de^ Jeunes Aveugles. Depuis 1846, M. Moulin a ’quittécet établissement, pour se retirer dans sa ville naiale. Oii lui doit un Annuaire de l’organiste (1828-1830, 2 voK imprimés en relief) ; dans1 lequel les si- • gnes de la musique spnt représentés par des lettres et»par des ehiiTres, d’après un procédé, jnyenfé et perfectionné par. les professeurs IdeiJ’institbtion, des jeunes Aveuglés''"Çùitfs

.eii.douzé (eçons’pour àpprènfirea) accorder’le

"P’H’ïb (Paris, 1839), ouvrage également im-priiïié en. relief, ..’ " ■ --"

, à MOULIN (Charles du), célèbre jurisconsulte français., -V. Dumouijh. ; i. 3, .., ■.., t, ,’,

« MOULIN (Claude, Pierre.’Joachim-Dti) ; ministres protestants français. V-. DuMOOLiNi’

".MOULIN DE LA BLANCUÈRB (P, .-R.-iii :-TTenri), "sàvaiit et ’photographéfrançais. V. 1

Là’Blanchèrb., ’ -’• !■-. ’. ■’ • -■"»’■

ij ■ - ■’ ■ - ’ ■ ■ ■ ■ ■" - i ■ ■, t., i., •MOUL1NAGE s ; m. (roou-li-.na-je -r rad. >.mouliner). ! Action de tordre ou de tilet’iasoie au moulin : Le moulinaqb déjà soie s[opère dans des usines spéciales.., .,

, .- !-Action de moudre : Le MOuLnsAjîB : du . blé. Le MOuuNAGBt^u café. ’ '"’ " ’..

■ : MOULINÉ/ÉE (mou-li-nô) part : passé du v^Mouliner^LSoumis au moulinage : : -Soie

! MOULINÉE.’.'..... ’., !., ..•.’.i

— Criblé ; rbrigé’ par les vers :’ Bois mod- UNB.—, :.-■.■ ■... ■.., .,

A J’Oi/j

— Techn. Se dit d’une pierre précieuse qu s’écrase, sous le dqigt et ise réduit enpousr àèrej !|| Cireimoulinée, iCitè’ rédui.te^enî.parr

Cellesi.’.'ii !’ ;, i ■, ", ’ 1. ;-, . !., ’ ■ ;, , -j’ih

« ; Mq’OLINEB :"v ? ’a/ ’éu’, {r., ji ; in ; oul-ii -n* ^ râdc. m&’ilfjjO7’JSôYniièttrè ;àux opérations d’u’iriouli’nàg’e : ’MbuLlNirft*</è là è’oïè : ' - "" ’ "’■, ! ". ;-^ :, gec’dït’desy’ersr(fufiJofty4h^ie : hoi^ reduisêfît en^poussi’êre nièViùe : 'Les v’èfs’ont UQpLyii : ceipu’ff’éi.f' Se dit’encore dps’vers qui çr’éuséri.t’Ui terre , i£es[vërs avaient’ûou- L ?fjÉ Iti jetée ;’etïehé put résister à ’là pHuisée

deiea^i ;^ ;’-^^’.' :-1 ;’ ;^ ■’■" : ;■ ; ;"’"

, . u— :, -W WH’Çr.îu inà/bçé, ’ L’user, i 9, t,1e ’.ppii.r ^.^lArçi^nt /Sur.uiie pl’aq(, ié"â.ë’ font’e^ou.dja inarbj’ç, ayep du grès inoùjUéinterppiséj.’., [

MOULINES (Guillaume), pasteur protestant, né à Berlin en 1726, mort dans cette ville en 1802. D'abord ministre à Bernau (1752), puis à Berlin (1759), il acquit dans cette ville une assez belle réputation de prédicateur. Sa traduction d'Ammien Marcellin lui ouvrit les portes de l’Académie, en 1775, et lui valut, eu outre, une pension de 500 écus. Encouragé par Frédéric II, il traduisit différents ouvrages et se démit de sa place de pasteur en 1783. Frédéric-Guillaume, a qui il avait donnée des leçons, lui accorda des lettres de noblesse. Moulines joignait a beaucoup d’érudition beaucoup de goût et de finesse. Quoique plus spécialement voué aux lettres, il s’occupa avec succès d’études sur la physique et inventa quelques instruments ingénieux. On a de lui : Réflexions sur les décisions immédiates des souverains et sur l'ordre de la procédure (Berlin, 1765, in-8°), trad. de Steck; Lettre d'un habitant de Berlin à son ami, à la Haye (Berlin, 1773, in-8°), contre l’abbé Raynal, qui aurait attaqué le grand Frédéric (Ammien Marcellin; trad. en franç. (Berlin, 1775, 3 vol. in-12); les Écrivains de l’histoire Auguste, trad. en franç. (Berlin, 1783, 3 vol. in-8°).

— n MOULINES CAMPÉS s. f.. pi ! (mou-lhnekan-pe).-OOmrrii Sorte de laine arec laquelle

Ion-fait desidraps’. ■-.■■ nu ".., • 1. ■- 1, .^in

—1 MOULINET’s. ’m1, ’(mbu-li-nè — dimiri. dé moulin)’ ? Petit ■fidulm’ ; petitérouéd’un moulin à’ yen t.’11 Vieux’mot :’, ’ ' ’ " ""’^ ■" i, ~-^'>r’e !de tourniquet :’, ’formé de dé’ux’pièf ces1 de bpis’èroisées et tdurhâni’"horizontalp■ment’lsur : un pied, ’1 "que..l’on’ place1, â’I’elitréôde certains1 chemiiis par’lesquels hë’dbïvén’t pa’ssèr’què ïès’piétons, ’ '" :’""." ’ ' ’, ;'r""tx

pour.’travailler a.’ja monnaie, ’ : Eçû’d’o^laMMOULINET. "(Àc’ad.^

on selsert jjp’iii :, enlqvèr, "ouJ p|ô, ur, triajner,4es fardeaux. JrNo’in donné’ q’uejqùefoiïa’^'treuil, partiçuiiéreinènt chez ^.p^çhètirs"^, ’jV" —, lTT-iï ?aire, i{e, tnoui !/ie£, J, Exé.cuter. aveoj fjqn bras pu.avec un pbjst que l-’pn^tient en mainuni mouvement.très-rapide, Jejiotalionj : tfaire le moulinet avec sa canne, avec son épée, jlow parer les’coups de son’adveriairé-.i .It.s-’—'Anc.législ. Instrument avec lequel l’exécuteur

des hautes œuvres ’étranglait le pa-tièn’t exposé siirï’la rcSié ; quand célui-pi n’était pas condamné à y expirer lentement. ’ ■ •JmiïïT Hyàraul"."Appareif employé’ pour, mesurer la’vitesse des cours d’eau.""", ’.' ; ", ""’ ', jj^-.Anc. art milit..N9in idjune, ^volution.ou conversion. ""."">., ’", -t, : " ;" ~~..."’. VK' ; ^•-jTTiCbQiégr.jFiigure.dans laquelle les danseuses d’un-quadrille, réunies paciila.main drojte.et donnant la iiuiinga’mjhek leiirs-ca—valiers-, tourneiit.ou balancent en tnëmé temps. j.B Chea les. danseurside éordeu Mouvements tesécutés eniayanuet-enarrièce.pour se ; dûhnér.le branla, u Mftulinet sur, place, Tour de main, que. fait.chaque.couple, ;, a. la ^plaçe

—.qu’il occupé dans le quadrille.- ■ vt.i

■i ^ii-’iMari’-Pièce do’ bois en* forme d’olive —qu’on metidansjléhulot du gouvernail, ’ét’âu travers de laquelle pasaeln manivelle, ’-l’ax

— ’ *^. Modes : -Petit ornément-.dè soie -ou’de

  • rubânqile-po’rtaieht’autrefois, les’ dàrtVes., J1

’ — Téehù : MaChih’e tournantéqué l’on pljice dans la fibtte ’d’uné cheminée, po’iir agiter Tair et empêcher la’(fuiné’e ’de pénétrer uarisl’appartement, il Sorte ’de vis qui fûi’uinôu-vbir une’barré servant dé’poiiit d’appui’à là "t’étè’dëspnd’és ;. datii’ un irié’tier à bras. U Espèce de broche péfééé dtins toute sa longueur •et recouverte dé’bois, ’ que "les tireurs d’or ’ ■emp’lo’iént pour emn’êcher que l’or ou l’argent, tne ; sè coupent, tl Bâton servant à serreriïh’e cortlé.’ H Êli^ih doiitJ les carriers ’Se Sè’rv’èrit •pour-levértet vider lès terres contenues dans ié’smàhneâ d’psiér, quaiidjls commencent apùvrir’un’è carrièr’e.’ll Petit bâton qui’sert aremuer le chocolat. Il Par’tie !dé l’établi’ à.f^lidre des tuyaux de plomb sànséotiduré, "ou" eSt •attachée la-sangte ; avec laquelle-dii’^tire le boulon hors du moule, après que le-tuyau-est fondu. ut. ; j> ■.7 .-j !i •.]><>

, -■ ;, — Typpgrt Morçeartfde bois en ç^j^dontles bras servent à donner.le mouvement’à, la pressé en tàille-douçë !, il’ivoiré lé ’Mutinet, 1 Abattre, la tïrisquette sur’le.tympan, après ! lavoir placé là ; feuille.de.papjpr sùr^céder- ’

we.r- ! ».i ’.■..’, ’.t., ♦ ! ;, ;„..."-. ;., ’, "’•, ...„ ji, ; ;.

.. ; -rr. Physiq, Moulinet électrique, ■ Pètit.-instrumént que 1’électricitô.fait ipurcer. ij... j

— Ehcyel. Kydraul. Lémou^’îîêtdé’Dùbûa’t, qui mesure la vitessè-à là Surface de l’éaù ; se composé d’une petite-rbiie1 à ’palettes’^mobile sûr son axe.’ On le disposé au-dessus du

MOUL

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courant, de manière que leau vienne choquer les. ailettes a, l’instant où celles-pii passent au-dessousideil’arbre^Dans ceimouiiiwiiqui, exposé en.partie à la résistance de l’air, ne peut-être èmnloyétOut -ku. plus» que, pour, de très-faibles’ vitesses, si.l’on.admet. quele3 frottements sont sensiblemeiU, uuls, la’vitesse . de l’eausera’égale ;à celle»des aubes, nueentre delatsurface frappéeïpar -leicourant, vitessequ’on déduirai uisémentdu nombre.de tours-accoinplis. Le moulinet de. Woltmann, se compose : d’un. arbre portant, deux, ou. quatre ailettes, planes, et’.tournant, .sur, d.eux^appuia fines. Cet arbre1 porte une vis jsans.rin, .communiquant par un systè.ne de roues dentées

avec un compteur, qui donne le nombre de tours dans un, temps, déteriorné^ Pour.se serr y.ir/de il^appareil, <tn, je plpn’ge.d^ns.ié’yuj rant, ", au, point.jpîi JL’iOij yéu^connaître, ! ! !y.i.7 tesse, en dirigeant [l’arbre Jparâ^èiemeiîf.au fil de l’eau et d’ans’ le rijême sens, érèn le mainten’ant’dap’S cette.positibh par un piquet fixe, le Ûon£ îduquel il peutiglisser ; puis, se plaçant au-dessus.du, i)iau2iRef !..oin obser(v^ le nqmbredp ^ùrsqû’il^faï^a^i^èren^es’H^u teurç^Les àjilettes, "ayain Jéur^’plabso^jiQues è..l’axè, re, çoiyéni du’.'c’o’uranlj’.unB foi’c^’dô’iltla’composan, tè"pqrpèndjculiiire qblîgej l’appareil àj ^urflèr, et^aUjbôut’d’e peu, de te.mpst)^ mouvemeint1, devieùt’a.peu, prtes"ùniforine.’un systgine’i, d’ein^rayagp permet"’de mp^tjé 1, ipcompteur, ’^n’tmàrç^ej.à^l’ins^a^t^ouj.l’on^ye^. Au bout d’un qertai n, temps on a’rrète le, cçn’ipieùr, ’p, n"„retira ^’jns’irûinfsn^ ’dé l’sâu. et.l’on ipnstate’le JioniKre.dé^purs qu’, il a^aits’uahs je teiiip^.éçoul.è. La seule dilncultequé.p|résènte r^iuploy.dijwoHteiéi de."Wp, ltiiiiliiin^q|ùsjçté dans là détermination préalable "du rap•p’oL-^quj’exis, te pntî’.èJéhflmVr^’dj^to^rjs’.'eVjla ivite^sè déI’ëaùj’.la meilleùcémâniljre"^è l’obtenir.est de, ’ faire /marcher, .i’i’çstrùi’nènt âarisi.ùnè, eàu stagniantéi, avpç.]un, el !yfies’^e

donnée, |et, d’ojjserver, le nombréde tpurSi’aocomplis.

Çê moulinet, de Baumg^rten’a’.âé ? ailes, , hélii ; pïdale.8’s^^’prolongeant, jusque, l’arbre, ii’ayanfage qui résulte/4o.i ; etté’mpdifi•cafion.qoasisie.è.n fie q’ué’la^seiis^biljte, de

l’instru’m’eni.l^ï plus gn’ui’dé, ’e(’qu’il fait plus

^n^^.pè^’tl^tr^j.qinplpy^’gph^jt^grér^ vitesse des cp’urants’gQZgux.’., ’, , l, ,’"L 0- ", ’

^’MOD’UlNET’tClauaéDU), ’abbé’des.l’huile-Vlës, ’énrditJ fi’aiiçais, né It’Séèz ’(Normandie)

è’ti l’éeii’-môrf’à’Puris’en 1-728. U était : très-—vërsé’dahs

la don’riiiis8iincé’du-’g’i’cc ; ldélfhdbréu’, des mfithéïntltiques, et fin’ii’pnr-s’ationlièr entièrement h." l’étude de* l’histoire" de France.1 Da’iis’cé’bnt,1 il-visita presqué toutes lés’archives de la Normandie, de la Bretagne, dé l’A’njVrii’, èt’y’rbcuellllt’dê.nonibrèitx’ matériaûxi’-Néus ’citéroès, purmi’ses’oilvrngfes’ :

Lettres^ ’écritesr à - ùn^ârtii’ sur’ 'les dispti les du jansénisme (Paris, -1710)’ ; Dissertations sur-la mouvancé dé Bretagne (Paris, ’lTl7), ->etc :-0«luilrdbit, ’ è’ri’où (rendes mémoires ’et’articles "insérés dans- les 'Mémoires’de ’Tfrévouœl’ dans —W.fl/Êrc’uri ? ;’ëité’.'| "-i ^-< ^’-^.- > -» ’■• ■"

"■ MOUU’nÊT (Jean),1 : poeféfrançais. Y..M6

  • »rér-’, u’., ;./ ! ’")., .."...’""’ :’, ,", ., ’, /, .

i.iMOULINEUR s.^mj, (.niott.-Hr.neur .ttt rad. .mouliner). Techn. Celui qui-opère ’le : moultmage de laisoie.ill Foulon, u On.(lit aûssijMOU UKI&R.(, ■> !. i ! :’. ’.'.i- r. •■ ■’.., ! ■ iJ !’ !, ’ :,1u■■ :

f.u.MOÙtimÉ(Chàrles-E^iehne-Fràiiç’6 !s) ; iit tëraieur’siiiàse" iîë-’à Genève"’èn17571 biort

"dans là mêméVillë Versi1836. Il-reMplit lesf6nctio’ris’pà’stb : ralesà GUilèvej’sfe ’fit, ’rèmartjùér pàrusà tblérhrice et ’composa’ ' assez grand nombre d’ouvragëJt’dè’jlièt’éï prfrmiLlesquels no’uVéiterons : Lettres à unelmêre chré-

itianne.(Genève, i 1SQQ)> ; ; Bromtsnadks^phiiosophii/ues et religieuses aux.environs du mont

•Blanc (Paris, "1817.) ; Leçons, de la, parole de Dieu sur les points les, plus importants de la foi

.chrétienne. (Paris, " 1821-1886 ;] 5 vol., i !i-81) ;

ïVJÏomme selon la. Bible- (taris, 1835, .in’-8^).

" MOÙLINIËB'.’a', ia. (in’o’u ; ti-hi9-^-m’d.’mbi((inerj. Te^hir Ouvrier, spécialement att’Aç’hé au per, vi’é> ?"i3u, m^Ulni, ’qù.se/bi ;Oieiit, les’m’afi.è,r’es premières, ’dans’les fabriques de poteries.

" ;.rgyp.ueWuuNiibRj. ■ ; ;  : ?’ ?, ;"■ ;’/

MOULINlÈRJSs. f. (mou-liriiiôre ^-rad. mouliner). Ouvrière qui travaille au iuouli-nage de la soie.., ,, .’ ', ^. MOULINS’s.ihi :1 (moii-làin). Gomm. Article de coutellerie^fabriqué dans la ville de Màults’<i’Vbùs’récmiiïaïlr’ex le Mour.iNSà ;/u torpeur dés’pl&ijues d’argent sdudées âl’éiain sur des’garnitures de fer et ’cannelées ’ p’rèsquf au 'hasard’ ;, à ses-mUnehes>'forrriéi.’-de- plusieurs

;«(dreSaîià, 'pa>économie ;’û'Sà légèreté d’oûvràt/i’et à son ajustement■bâclé."(Dltit. du

—comih.)’ ■j ’•■ ■’—' ’."">•»’ -■■• -v.-i- ■■. j.

!, MÔCLlSS^la.^oiaGsroouia.’âes’feom’aiuS,

1 ! ’ ' "j i —■ * ’"pu* *j.V-<T*-* ’ i- ’ I u ilf *. t.’ à U 1 14'r > : j ;’ ■ 1 : ■ *

■■tep. KvP.jj, I>op’. âggl., 17,83’6, hab.’— pqb, ’ ^o’t, . 20,385 ha(j. L’arroiidisseiiienf. comprend9’Cantons, ’ ai "communes "et i’l.3j87i, ’.hàb. tËvêché suffragant’ de"Séns, grand séminaire ; tribunaux de l’e instance et de commerce ; deux justices de paix. Lycée, école préparatoire £"dè’s ’sciences et des lettres, école nbrmale •’ d’instituteurs primaires, cours normal d’institutrices, bibliothèqué publique, ihusêes d’âr-