Page:Larousse - Grand dictionnaire universel du XIXe siècle - Tome 11, part. 2, Molk-Napo.djvu/318

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MUST

comme avec les instruments à sons fixes.’tels que le piano, la harpe", il serait incommode de multiplier les cordes et les touches, on use de la tolérance mentionnée plus haut, et.la giimme est alors divisée en douze intervalles égaux entre eux ; on a, de cette façon, les douze notes dont l’ensemble constitue la gamme tempérée. I ;. ; j

ut % ou ré h

Jf ou mi [ ?

mi § mi $ ou fa fa

fa JJ ou solp sola ’■" sol Jf ou la f.<

la g ou si ■ /t

si'Xv ' si J ou ut b

L’ensemble de ce système ise nomme tempérament. • " •• ■ ■ ■ ’i■ ’ ■

On appelle gamm, e chromatique la succession mélodique de ces douze notes, soit’en montant, soit ; en descendant., , j

1/2 t

GAMME CHROMATIQUE EN MONTANT.

1/31. 4/21. 1/2 t.-, /ît’- J/2t 1/2 t.—1/21. 1/2 t. 1/2 t. l/2t. 1/2 t.

GAMMB.CUROMAT1QUE EN DESCENDANT., ., f. 1/2 t. 1/2 t. 1/2 t.

jewabaC&teQritoe'

1/2 t. 1/2 t. 1/îit ni

■2=aùof0&g

— ; ■■-■■■ — =— <±*—u

1/21. l/2t. 1/21.. l/2t. 1/21. l/2t.

On distingue deux sortes de demi-tons : 1» le demi-ton. diatonique ; 2» le demi-ton chromatique..-. ■./°

Le demi-ton diatonique est celui qui a lieu en changeant de note commé dans l’intervalle de mi à fa, de si a ut, d’ut à ré p., ; " "Le demR’on chromatique "est "celui "qui a lieu par l’altération de la même note comme dans l’intervalle d’tiit] à fa jf, de. fa h h-fa J, sol h a sol >, do Q à re p. ! •" •’

Il entre, comme il a été dit plus haut, dans la formationde la gamme chromatique douze demi-tons ;-mais sept de ces demi-tons sont diatoniques et cinq sont, chromatiques ; t

ÏM.USI

ticuliers en usage- dans la musique des Indoxis, et d’un certain système de notation composée de signes arbitraires et" in venté, par’les’Ghi- ’ nois, l’idée de représenter lestons.par des alphabets divers prévalut chez les anciens. C’était encore ce même système que reproduisait Grégoire vers la fin do via siècle ; car-|

, sesquin£ésignes-des.sop.s. n’étaient, qu’uné

’ moditication’-He lainotation^romaine, . mo’djflcation importante, pourtant, en/.céqc&lle substituait pour la première fols, dans l’Occident, la notion de l’octave k celle de la division par tétracordes.i ’..’., , i. ». 1" -Ce n’est rque- dans, le" xiC siècle.de. lfère ;

ilchrétienn’e.Vque" lè hênédictin. Gui d’Afezzol inventa une nouvelle méthode de notation, en substituant iaux-, lettres des joints posés j Survdifférentes’.lignes.parallèles, à chacunel desquelles une ’lettre servait de ; clef. Dans la suite, -le volume des. points fut augmenté ; on, s’avisa d’en poser aussi.dans.les espaces compris entre les lignes, et. L’on, multiplia, ! selon lés.besoins, .ces, espacestvet ; ce.s1lignes. Les notes n’eurent, durant un cerUin ; témps, nd autre fonction que de marquer.les.degré.set les différences de l’intonation."Elles étaient tontes, quant à la’ 'dùréel’d’égalè valeur, et ne subissaient,1-à. cet égard, <-d’autre influence | que celle exercée par les syllabes longues ou brèves sur lesquelles on les chantait. C’est à

•peu -près- danS’cet ’état qu ?esti vdemeuiié le plain-chant- des» -catholiques ijusqu’à i ce jour ; jet’ilai’nïusiçué des psaumes chézâles’jprotestants est plus imparfaite encore, ? tpuisqulon’ n’y distingue même pas les longues et les brèves. "*" 10

Cette indistinction’de signes dura, selon l’o- ;. pinion commune, jusqu’ën’1338."A’cette épq ;’ que, Jean de Mûris, docteur en théologie et

chanoine-, dérParis, ".ldpnn.anaux notes-différen•tesiâgures-,

pour marquer les rapports de.-.durée-qu’elles devaient, avoir, entrai elles..11 inventa.aussi.des signes de mesure appelés modes, ou phla’tions, pour, détérminer, .da : ns je1 cours d’un chant, , si le, .rapport/^eSLlongu^s aux brèves serait double,1triple, ■etiç.1 ; ~f ’"'-j ’ Aujourd’hui, on se sert pour noter la musi’que d’uhëp£orfé< ; deicin : ql lignes superposées qui se comptent de bas en haut.,

diat.

’ diat. chr.

chr.

chr. ’ diat.

^Ê^ : ft£ji4é

—■«=> •*&■

w^ëz^^lÊk

z^z

chr. chr. diat. diat. diat., chr.

chr. chr. ; chr.

diat. diat. diat.

*r *^..itn., Miat. uiai.

—fi V-f ~r-j CX.

diat. diat.. diàt. diat. chr. chr.

— III. Histoire de lÀnotation musicale. Les Grecs se servaient deâ lettrés, dé leur alphabet pour noter leur musique. Or, .comme ils avaierit vingt-quatre lettres et que" leur plus’grand’système, qui dans fin même iniïde n’était que dé deux octaves, n’excédait p’as le nombie de Seize sons, il semblerait’que l’alphabet devait être plus que suffisant pour les exprimer. Mais, en premier lieu, les’deux mêmes sons étant tantôt à l’extrétaité’et tantôt au "milieu du troisième tétraeorde, selon le lieu où se faisait la disjonction, pn-.donnait à chacun de ces soris, desnoms et dès signes qui marquaient ces diverses situations ; de plus, ces seize sons n’étaient pas tous les mêmes dans les trois genres ;’il y enf avait de communs aux trois,1 et de propres à chacun, et il fallait, par conséquent, des notes pour exprimer ces différences ; en outre, la musique se notait pour, les instruments autrement que pour les voix. Toutes ces modifications exigeaient une multitude de signes ; de là, nécessité d’employer les mêmes lettres pour plusieurs sortes de notes ;, ce qui obligea les Grecs de donner à ces lettres difféieniesisituations, de les accoupler, de les mutiler, ’de les allonger en divers sens.

Par exemple, la lettre it écrite droite, renversée, couchée à droite ou-à gauche, mutilée et réduite a un seul jambage, exprimait autant de notes différentes :" Kn combinant toutes les moditications qu’exigeaient ces diverses circonstances, on trouve jusqu’à seize cent vingt notes différentes, nombre prodigieux et qui devait rendre l’étude de la musique' extrêmement difficile. Aussi Platon-voulait-il que les jeunes gens se contentassent d’y consacrer deux ou trois ans pour en apprendre les rudiments. " ■ • ■ • >' ■’■• i

Les Latins, qui, ’à l’imitation des Grecs, ^notèrent aussi la musique aveu les lettres de leur alphabet, restreignirent beaucoup linbtalion, le genre enharmonique ayant cessé, d’exister et plusieurs modes étimt tombés’en désuétude. Boece établit l’usage de quinze lettres seulement, et Grégoire, évêquéde Rome, considérant qua lès rapports des sons sont les mêmes dans chaque octave, réduisit encore ces quinze notes aux sept premières lettres de l’alphabet, que l’on répétait eii diverses formes d’une octave à l’autre.

Ainsi, à l’exception de quelques signespâr 40-

. 15 ?-t.— J’JL

Les notes sé posent sur les’ lignes ou dans lqs interlignes. O ^

•■in

ii-’li

{{{1}}}

=ë=n-

^ë=o-

ï ?"

. De petites lignes supplémentaires permettent de monter plus haut ou de descendre plus bas.. — -"-■..

„ "’ vo. -a.. ^ , —

-e~ v0~

^’ ^"

tr^

A ;Chaç.un ; ; de ces signes -d, e4uï.4.a, ;.ÇPVreS" ppnâ.un’signflfdê^nràmo/vâjgqr-ejvsilence.j^

■"■ ’ la pause i équivaut i-en silence 11a ila

O (ronde). •- ••• <’ :-. À i* fii^.JÏ■"■■ ■■ |..la demi-pause équivaut en 1 silènce-à la

J. >m j.th, . ■ -ÎT...I, . ■ - :. lu ’. 1. -of < (blanche)-. — ’1 t. 1 ;. 1 ’ ii.. :, i l. : ;•, f 1 ’.. la soupir équivaut en 1 silence à la 11- J’- !’<noire). ->t ; '•■ ’. ■’ •••■■« •’ J’i »’"-•"iV le demi-soupir équivaut en silenceàla

—’.."[■n-x rt’ioj.’" v /.t 'ia jrnoHi’l’.1’—, •.#. •.(crojebe). tlt1H, ..1, -, ., i„, ., ,->, ...4i pti —5.-11- v.ilei : quartida.j60upirj.équivaut ; iea sl 1 1-, -, nt.(Jence àila. 1. phium’iu «util iii^

fe. Fiiii-irrii’l ■mîii’B»

•r< 0 : t(doublecroche).([ n, i aumi- ; ! «tj Ci’ il. i-le huitième de soupir..équivaut eusi*} lence a la ; m*ju’i : m

...—f-rj *.An, -m»- :/.c •

iféf r’*i <.'rt f i • ’ î " : i » rfii t

  • ># c, (trip !e’crocJie).j^%,

ii^.. ~le sèiziëmé-deisoup.ir""équivaut-êiî*isi-J2-. ’"" —lericé a la ’— ’ ^ 1^1 :0’^-ii.

V *, "

mi’ ^’^{quadruple croche)-. ! iiot min, <-i !oj

Un C iridiq’ù'èviia m^f^à’-'quat’re^mps {rhythme binaire).- " ’ :"f :’ v-Les chiffres — indiquent une mesure à.qua- :.■.-^ :.rvv 8-is~. •> rr =^ tj~

Itr.e.temps.e.tjdgnt chacun des ; tèmpsN5eiçomposera d’une noire pointée ou de trois çro■chës.,1io : i 311 s-1^"1"11 9iH« enn.’iV, il

Les, signes (fc, 2, -.-j et s indiquent les

mesures à ’deux temps, m ;-, ; u 0

’ Les signes 3, -, -, — et - indiquent les méïur’eHsTà’^ois’ ; t< !|npé. ;, ’7, ;, I, J^1, l1, I : ; " ’ 'Ôh’iililiqu’e les mouvements au môyènd expressions lèiïfp’ruhtéès klà’làri^ue ; itiiliëhnê, prise coinnie langue ’uhivèïs’èHe’in’ysïcule,

MVÇl

■ ? ?3

Au, moyen d’un signe., app elé. ç/e/, qui s

filaçe sur l’une des’cinq lignes, on détermin a place qu’occuperont les notes’sur la porté) IT.y a-trois clefs : -10 la clef-de fa, que l’c. place sur la 3" et : s’ur4al iQ -lighe ; 2<>'laJ.Clef d’ut, 'que ;.l’on place, sur-la" l™, ~la 2< !, -lâ 30’èt

la 4° ligne ; 3° la clef de sol, que Ion place

sur la-’)re et-la-Eo-ligne ; ""*■ - ’ ■ • 1

fa, • •. t

s-et.-w-e*t- — fa

m

!|^^^zï

-6-

. util ~ ut.

xxt

—ut4’

", wioi" ’■■■ ’ -"^’|J-sbil, "u"-, -i

e-

m

m

e- ■Pour indiquer la durée : des sonsj on varie la figuredes notes ; pour augmenter de moitié la valeur *d’ûna note, oh y ajoute un point dit point d’augmentation. ■ ’ ' ■’■• ’■

Lés différentes-figures de notes sont : <

■, o -la ronde ■. ’ ' ■’ i

0 • la blanche, , ’ ' " ’ '

4 la noire.

la croche.., ..., :., „

$ la double croche. 0 la triple croche.

■ H ’

  • la quadruple croche.

afin ’qliféla1’ 'musique gràvèë^danVjuh’ p’aysj puisse être comprise dans’uri’&ulré.^1’ ■’■"■’ « ’ Pour liréla musique écrite avec des-’rtetes

'èi la réti’dfe exaéteirient, il ya huit ’ po’j’rits’ à considérer : îo’ïa clef’et’sa’ jidsitidnV’So les

'àièsi

isès où béiiiols qui peuvent raccompagner ;

jé lieu’dù là position de chaque note y 4»’sôn înt’érvalléj c’est-à-dire sonrapport-avéè"celle qui p’rècèilé •50 s’a figufê’, ’, qui détermine sa Val’eur-’fe» le temps danb-leqùéléllése trouve "efiu’plâcé qu’elle y écoute ; i° : le d’ièséoujleb’émol.’.oû Té b’écàrre accidentel1 quiJpé"ùt la préeé’der.’j’jB" l’espè’ce démesura et lëJcàractè’re du mouvement :. ’. ( "’.Jl O’.i.u

Voici’d’é’q’ueliémanièFè onindiqùëIesrrnOuvements

et les, différentes nuances à ; ob’server dans l’eiécutiori..-■ !■’•■’— ■ il’ .-« ■ -..’ !■. : :, .

Mouvements.

to’. : x.

Expressions italiennes.

Grave, 'Largo,

tLàrgheitoy

. 11. "il. : lu

■ Lento, uL., Adagio, Andantino,

-•Andante ; ■

Moderato,

- Allegretto,

A^gro^

Mouvement ^ Expressions

françaises.

grave, large.

moins IargeV ;

L111..1, ..

métro- nomique.

J= 48,

’. "^ ^

i ■ 11.1 ’il i.

, . *=—52,1-ilent,

J=, 54, posément, ’aTàise.’

. MCI. IVI-lifl l.V’j, ii’ ;.l.-*

0 = 60, en marchant dou-i >" h- r ceiiiônr.’ T Sii- :’»

1, J=i ô6, ">eniraarchantjo

  • = ’sQjji modéré. 1 ;. l„ :, ^

iV-iûO,

  • ■= 126,

d’une.ga}etèrrete-nu’é. ■’■'*’ '", .

piW ■ ■

■estissimo, :±é.= lS4r, sArès-rapide.- tii ■

Vivace, ;) Prestissimo

« 1. :’, iî 1 m ’, #ê.^uejnéi*/, /, i ;., ’1, ’, .l., — !, ,

.Sostenuto, ■, , soutenu, .^ u !, ., i -, p^r- ai

Cantabile, -..■ichantant. ut H ’ir nu i : ;>.n

-Afféttiioso, -..riaffectiieux..„ii ;, u , .uii<> ’an

Lamentoso ; fi.-plaintif. :, ^ »r.i, «,1 ^-.j.-n

douloui-çux.i., ,., ;, ■ ; -., ,

triste.,11 ■-. in-. ; 11

majestueux. v, i-i-1

résolu., "., .. u- ;-

• Doloroso,

, Mesto, ,, .

.Maestoso, ■ liisolulo, u

■Grazioso, > Commodo, . Con spirito, Con niotù, Multo’assai, ' Scherztindo, Con’brio, " ■Agitato^^.-

I M’

gracieux, à-il’aise.u

11- ■■i 1.

a-’ -M’ii 1 1.. avec esprit, avec entrain, avec mouvement.]. beaucoup.. * "" ’ !/ en badinant.. ’ brillamment, ^agité...

~. ’ ^—c iù- ■>■ Indications d altérations de mouvements.

Expressions ■ Abréviaitalïenaes. -lions. ""

Jiatlentendo, ^rall.y Bitàrdaiido ; riiard., . Bitunuto, rit.,

ou, de force1.qu’il convient de.donner aux

sons* a'^’', ’ ' ’, .. Abrévia-., . • Expréssipns *

, tiorns, , i 1 ; françaises. 10

p., s - -. faible., ’ ' ’ 1"3 pp., ’ très-faiblé. dot., -’ 1 doux.’ ■ ’ '■■.’•' ■ dolciss., très-doux.. décres.’i en diminuant-’ de ■ 1 force.1

en diminuant -le son. eh éloignant léson. en-mourant., ’en éteignant ’le-sors. a demi voix.’-' -fort. -’ •- ’ -■"■u très-fort’. ’ ■ ’ ■•-■ demi-fort, peu fort : ■*’ ""V en attnqiiaht’sùbilèmént fort.

EipHSsionsi , .italiennes., .

Piano ; < •Pianissimo, ■’. Dolce, < ’ J ; ■Dolcissimo, ■Decrescendo, ’ ■t- ■.’..-. ’ *n Diminuendb, Smorsatido ;* Morehdo, CaléMdOi ’ 1 -’Mezza-voté, Forte, •’•'.’■• Fortissimo, - Mezza forte, 'PocV/orté’i ■ Sforsato, -' . *i ;’. — jL-.,

Rinforzandoj ■•Forte piano, ’

dim., ■ smàrz., itioren. cal., 'mes. ii.

■ ;/, ■

rinfi

fp ;

• Crescendo-,1' ;■ cresc., ’ en-renforçant le.’son.

fort et immédiatement doux.- ’"•’•

en-’ augi^eiitant ’ de

••• ^forcè." ■• ’■-■ . j-i„ui ■jiijl.-rjvni’i.. .a 1.. p.i1.’" •I’, ’1'V-i-’-. . Exprej&ipns servant a désigner les différents

i"..ij Ç^^^U" desjnçrçeàux 4e mJ,519ue—^Scher.zofii <i^ -m ljl/l)l«ef<0 ; i[i’..il’. <•> -I, 1., . Ml’.'.^i..

—ijiitxj ’. : j u*. *ji> -*i •jr. Ili ij a i/tll-’i- ’-• j 1.

■Rondo ?" t -i l 11’ 1., n l, ll< J ’.u v ’.

—lu ». liU.Vnl. - : j.-. i.]

^Finale ; - < - i>. ■■

, , :A :• M-ir.< J ■ .■ .Intermezzo, * <■> ’" ; b.y«»ipOi d i’ m ttreid, iMarcia’funebrej’ •

■’ '*’ '", ’ '.’", ’ Indications ’diverses.,

Jl ’-rij. 1 j.f. ■

•»Cottieapr««ione", avec" expression t.Ezpressioo,

morceau vif et gai. menuet.j ancien air do 1.’danse a trois temps.et ■ •- d’uni mouvementimo■■■■déréi m- >»• i" -. : ’ ronde, morceau’gai, ’le plus souvent • à -deux — •temps.-"’- ’.• ’. ;' ■<• nnalei ’dernier morceau

d’un ouvrage. 1 ■ ^ intermède. ’- -" '•■ • ’"'- mouvement ideimarchB. marche-funèbre ; ■■•■-Appassionato, Animait)i.. Concalore, u iCon anima}

■ Con fuOCO, !’ : •■•

« Staccato, .. , «.•

Legatoy.-, <- -•< Con grazia, .

« TemttO, : i■-.-■..-.

■ Poco.à poco, .g. .’Tempo primàj 1

A tempo^ ■.

rSempre, < 1 ■ ■•"■.Quasi, •■-•■ ’1' :» Piû mosso, Meno.presto, — ’■ 1 Intesso tempos • ■ Da’capo, D.Ci ; ■ ;■■■ i’1'1-1 -"-’i

. Sensa^réplica, •’■

AI segno, -’ ■’•'• 'Alla-cùdd, ut

11 ExpressionsV ’.françaises.., fL.

— -en ralentissant.’—en retapdnhT, v en retenant le mou— ’ vement. en- pressant le-mou-’ venieut. "- •, ’.' —en-serraat.—à plaisir. ad lib., ., : h volonté, ,..,

■Des nuances, y——.^ ’^ Les nùançesjndi, quentJed*e-|^6^de doMeùr

Accelerando, ^accel'it

Stringendo, string.

A piacere, • Ad libitum,

■ exprès., avec expression, passionné. <■ - >.. animé, t.... ■■■ :- 1 ’* avec, chaleur. -..■  :•• : ! avec âme.. > ■ ■< :.. avec feu. 1 ■ , *.••..•'détaché, .-.i..•.-.u Hé. ’I' -, -’ i - ■-

avec grâce... ■• !■.’

en soutenant le son. >:

r, peu à peu.. ■ t, .., , ■•.

■ reprandre le-premier thou..

  • vement après un changement

de mesure ou de mouvement. .>■ ■• !.

reprendre le mouyemerit .. après une altération de

mouvement.

toujours. ■

presque. ■ plus vite.

moins vite. ’ ■

« même mouvement. reprendre au commencement, sans reprise. ’ t’

(au signe. <■' ■ ••’

’, . passez ù la conclusion. • • !Volliis.ubito^’V.’Si’, 'tournez vite la page. ■ Beu1marcato, —> -i bien marqué. ■ ■ - • •••■ <’■Seyue ; < ’■■’■■’ • "en suivant, encontinuant. ■•Collévocei’i i- »avec la voix, eu’suivant &-j :. •, —. ; îoi •’ 1 ’|£. ’■ ’la voixi’ ■• ■ •’. -■ ira, 2» tioWàj’ ' 1 ’ lre, 2" fois. ludicalions, spéciales à l’exécution de la , ’ ' 'miisi^tiftfiir les instruments d cordes, ,L Pizzicato, pizs., en pinçant ta corde,

avec 1 archet...., i.

son, flûte, sur la touche., lire à l’octave supérieure. revenir à, la.position normale..,, •, . jpuer.près du chevalet, même recommandation.,jouer avec la pointe de L’archet...v

"’. Parmi les systèmes proposés par divers’i*éformateurs dans le but’ de simpliflér la notation musicale.’celui de Jean-Jacques Rousseau èst’seul digne de trouver placé ici, a cause, de la célébrité que le bruit fait autour du nom de son auteur a su lui acquérir. •

Voici, en’ abrégé, l’exposé de ce système.’lu

par son auteur. S l’Açaqéiriie des sciences Je

, 28 iioût’i74S. ’«' Il paraît étonnant quelles SI-gnes de la musique étant restés aussi1 longtemps dans l’état d’imperfection où nous "les voyons encore aujourd’hui, la difficulté,3e

’ rapprendre n’ait pas averti le public que c’ê ’ tait la faute des caractères, et non pas celle de" l’art. " U’, est Vrai qu’on adonné souvent

"’des projets’en’ ce genre ; mais de tous ces projets, qi»i, ’ sans avoir les avantages de la musique ordinaire, en avaient presque tous les" inconvénients, aucun, que je sache, n’a ^.nL ; i’ :^ : ’J^.-’./.wÀ irt Uni.-rtir ny ung pratique

ouer ceux qui

'■> Sl*’*

qué le génie étroit et borné des musiciens ordinaires lès ait empênhés d’embrasser un plan générai et raisonné, et do sentir les vrais inconvénients de leur art, de la perfection, actuelle duquel ils sont d’ailleurs pour l’ordinaire três-ehtêtés."»’ Cette, quantité^ de lignes, de clefs, de

CoïKarco, ■fflautato, ,. t, .. Oç<aua, -.8à, • 1 >, ’-i

-Loço, ,, -, -..’,

Sulpontiçello, ..., .Alla, gambOf ■ Con punta, .dell' ^., arco., ,■■> 1