Page:Larrieu - Au pays des érables, 1921.djvu/7

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2

Elle a de jolis yeux bleus
Fine taille et frais visage,
Et l’un de ses amoureux
La voudrait en mariage.
Voici revenu pourtant,
Le jour de Sainte Cath’ula* !
—“Ne cherche pas plus longtemps,
C’est bien dangereux, Jeanninel”
Pour oublier, en attendant,
Ma pauvre fille, tire, tire
La blonde tire ! (bis)

3

Crois-moi, les princes charmants,
Ça n’existe plus, ma fille !
Marie-toi, il n’est que temps !
Tu vas rester vieille-fille !
Tu sais que tes vingt-cinq ans,
Sonneront avec l’automne,
Tu vas coiffer sûrement
Le bonnet de ta patronne !”
Pour oublier, en attendant,
Ma pauvre fille, tire, tire,
La blonde tire ! (bis)