(p. 364) ; rappel de La Profonde émotion s’entremêlant avec L’Amour naissant ; le Motif Patronal de Nuremberg reparaît, accompagné d’une nouvelle forme qui semble caractériser Nuremberg endimanché, la ville en fête ;
[partition à transcrire]
Le Calme de la nuit d’été se représente à la pensée de
Sachs, avec de nouvelles réminiscences de La Sérénade
et de La Bastonnade ; La Saint-Jean se confond avec
L’Amour naissant. Tous ces motifs nous font pénétrer dans
la pensée intime de Sachs, ils se rapportent tous à l’objet
de ses préoccupations, et son émotion va croissant à
mesure qu’il voit approcher le moment où il pourra terminer
son œuvre en faisant deux heureux.
Scène ii. — Un arpège prolongé nous annonce l’arrivée de Walther, accueilli par La Profonde émotion, à laquelle se mélange de nouveau L’Amour naissant