Page:Lavoisier - Traité élémentaire de chimie.djvu/516

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462 ARPAEEIL POUR LA F ERMENTATION, ptxtride exigent des appareils particuliers , & deilinés uniquement à ce genre trexpériences. Je vais décrire celui que fai cru devoir défini- tivement adopter, après y avoir fait fucceili- vement un grand nombre de correélions. On prend un grand matras A , planche X , îl’environ I2 pintes de capacite : on y adapte une virole de cuivre ab lolidement mailiquée, 8: dans laquelle fe ville un tuyau coude c J garni d’tm robinet e. A ce tuyau s’aclaptc une elpèce de récipient de verre à trois pointes B, au-clell`ous'cluquel ef}: placée une bouteille C avec laquelle il communique. A la titite du récipient B efl un tube de verre g/zi , rnafliqué en g 8: en i avec des viroles de cuivre: il ell delliné à recevoir un lei concret trèsœlèliquell cent,. tel que du nitrate ou du muriate de clmux, de Pacétite de pc•tail`e, Sac. Enlin ce tube ell fuivi cle deux bouteilles D,E , remplies jul`qu’en xy d°alkz1li clillous dans Peau, 8: bien dépouillé cracide carbo- nique. Toutes les parties de cet appareil font réu- nies les unes avec les autres par le moyen de ., vis <‘5’< d’écrous qui fe (errent; les points de contaél (ont garnis de cuir gras qui empêche tout pallage de l’air : enlîn chaque pièce ell ` garnie de deux robinets , de manière qu’en