Page:Le Braz - La légende de la mort chez les Bretons vol 2 1902.djvu/116

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La foule suit, sur deux rangs. Chaque mort tient un cierge allumé dont la flamme ne vacille même pas auvent*.

On s'achemine de la sorte vers quelque chapelle abandonnée et en ruines, oti ne se célèbrent plus d'autres messes que celles des âmes défuntes.

1. Les noyés, eux aussi, font à la surface de la mer la procession de la nuit de Noël (A. Le Braz, Vieilles histoires du pays breton, p, 196*201).