Page:Le Braz - La légende de la mort chez les Bretons vol 2 1902.djvu/37

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attendrissante que Gaourantinn et Yann en eussent volontiers pleuré de bonheur.

Les cinq fantômes s'inclinèrent tous à la fois, et les deux marins les entendirent qui disaient avec une voix douce :

— Trugarè ! Trugarè ! Trugarè ! (Merci ! merci ! merci !)

(Conté par Marie Manchec, couturière. — Quimper, 1891.)

faut avoir sur le bateau de la musique et des chants ; les fées, occupées à écouter, laissent passer le moment fatal (lady Wilde, Xnclent legends, p. 81).