Aller au contenu

Page:Le Braz - La légende de la mort chez les Bretons vol 2 1902.djvu/468

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
Additions et corrections


TOME I

P. XXX, 1. -18, en note à Gwennklan. Cf. Entre Camarades, mélanges publiés par l*associalion des anciens élèves delà Faculté des lettres de Paris, p. 197-201.

P. 5, note 1. Mais la belette joue un grand rôle dans les contes merveilleux de Tlrlande.. Voir, par exemple, D. Hyde, Beside the fire, p. 73, 75, 77 ; G. Dottin, Contes irlandais, p. 42, 43, 225-227.

P. 5, note 2, Avant la mort d’un enfant, on voit souvent des moineaux chaque jour, pendant une quinzaine, venir à la porte delà maison (Goodrich-Freer, More folklore from the Hébrides, Folklore, t. XIII, p. 36).

P. 6, note 1. Même rêver qu’un coq chante dans Tobscurité est un intersigne de mort (Goodrich-Freer, More folklore from the Hébrides, Folklore, t. XIII, p. 51).

P. 7, note 1. Quand un chien, sans raison sufflsante, hurle en plein jour, c’est qu’il aperçoit un enterrement de fantômes (Goodrich-Freer, More folklore from, the Hébrides, Folklore, t. XIII, p. 34).

P. 10, note 3. Cf. Goodrich-Freer, More folklore from the Hébrides, Folklore, t. XIII, p. 33. Si Ton se sent les pieds excessivement fatigués^ c’est qu’on aura à aller inviter les gens à un enterrement (ibid,, p. 61). .

P. 31, li 1, en note. Les mineurs de Gornwall voient parfois une main de mort qui porte une lumière. C’est un signe de malheur (Revue des traditions populaires, t. II, p. 474).

P. 37, note 1. Rêver d’eau qui coule le long du mur intérieur de la maison est un intersigne de mort (Goodrich-Freer, More folklore from the Hébrides^ Folklore,i.yA\l, p. 37).

ADDITIONS