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tance meurt de la vérole ; Belleval, ruiné par le jeu se livre de plus en plus à la débauche jusqu’à l’âge de 45 ans.


Il me semblait que rien sur la terre n’était ou ne devait être égal à Constance. Heureux et satisfaits l’un de l’autre, nous trouvions dans notre possession mutuelle le charme de la jouissance ; mais l’attrait irrésistible du plaisir m’entraînait, Constance l’aimait de même, et nous ne pouvions nous suffire.

Malgré que je possédasse son cœur, je sentais qu’il manquait quelque chose à mon existence. Ardents prosélytes du plaisir, nous ne pouvions, Constance et moi, parvenir à nous contenter ; nous avions l’un et l’autre usé les charmes d’une possession mutuelle, et nos sens nous invitaient à chercher à cueillir ailleurs les myrthes de l’amour.

Sans nous faire une confidence réciproque, nous en vînmes par degré à nous absenter l’un de l’autre. Je laissai Constance libre de se procurer des plaisirs avec tout autre qu’avec moi, pendant que de mon côté je continuai à fréquenter les sérails de la capitale.

Une des filles d’amour de la débauche fit un