Page:Le Degré des âges du plaisir, suivi de L’École des filles, 1863, T2.djvu/101

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— Et les moyens ? demanda encore la curieuse Fanchette.

— Ont de six à neuf pouces ; ils remplissent justement le conduit de la femme et la chatouillent doucement ; il y a des femmes qui sont plus ouvertes ou ont de plus grands trous les unes que les autres ; à celles-là il leur faut un engin puissant, bien dur, long, gros et bandé, qui soit proportionné à leur fente naturelle, mais après tout, ma cousine, soit grands, soit petits, la vérité est qu’il n’y a rien de si délicat ni de si bon que le membre de l’ami de notre choix et quand un homme qu’on aime bien n’en aurait pas plus gros que le petit doigt, on le trouverait meilleur que le plus grand dans un homme qu’on n’aimerait pas ; cependant pour avoir un membre bien fait il doit être fort et renforcé de la culasse et venir en diminuant vers la tête.

— Une autre difficulté me survient, ma cousine, dit Fanchette.

— Quelle est-elle ? demanda Suzanne.

— D’où vient que les hommes, quand ils nous font cela, nous disent quelquefois des injures et de vilaines paroles, au lieu de nous en dire de plus honnêtes ; je ne saurais concevoir que l’amour