sieurs reprises et semblait se plaire à les regarder ;
il approcha son engin des hanches de Fanchette,
de son ventre, de ses cuisses, le passa entre
les poils de sa motte et le conduisit jusqu’au trou
mignon. Il porta sa main sur le trou velu et s’y
arrêta quelque temps, passant les doigts entre les
poils, serrant tantôt les deux babines l’une contre
l’autre, tantôt les faisant entr’ouvrir, il la fit un
peu reculer en arrière, lui ouvrit les cuisses,
passa ses genoux entre les siens ; ayant troussé sa
chemise, il l’attira à lui, prit son engin dans sa
main et l’approcha du but ; elle sentit qu’il le
poussait contre sa motte et qu’il voulait le faire
entrer dedans ; il lui ouvrit les deux babines avec
les doigts, poussa deux ou trois coups de cul et
l’élargit un peu, mais Fanchette, ne pouvant
résister à la douleur qu’il lui faisait, le pria de
s’arrêter.
S’étant un peu mieux ajusté, il lui écarta davantage les cuisses et poussa la tête de son membre un peu plus avant, mais elle le força encore de s’arrêter ; il l’exhortait à prendre patience en disant que ce n’était qu’un petit mal, et qu’une fois le passage frayé, elle ne trouverait plus de difficultés, que cela lui faisait aussi beaucoup