Page:Le Degré des âges du plaisir, suivi de L’École des filles, 1863, T2.djvu/66

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 58 —


sieurs reprises et semblait se plaire à les regarder ; il approcha son engin des hanches de Fanchette, de son ventre, de ses cuisses, le passa entre les poils de sa motte et le conduisit jusqu’au trou mignon. Il porta sa main sur le trou velu et s’y arrêta quelque temps, passant les doigts entre les poils, serrant tantôt les deux babines l’une contre l’autre, tantôt les faisant entr’ouvrir, il la fit un peu reculer en arrière, lui ouvrit les cuisses, passa ses genoux entre les siens ; ayant troussé sa chemise, il l’attira à lui, prit son engin dans sa main et l’approcha du but ; elle sentit qu’il le poussait contre sa motte et qu’il voulait le faire entrer dedans ; il lui ouvrit les deux babines avec les doigts, poussa deux ou trois coups de cul et l’élargit un peu, mais Fanchette, ne pouvant résister à la douleur qu’il lui faisait, le pria de s’arrêter.

S’étant un peu mieux ajusté, il lui écarta davantage les cuisses et poussa la tête de son membre un peu plus avant, mais elle le força encore de s’arrêter ; il l’exhortait à prendre patience en disant que ce n’était qu’un petit mal, et qu’une fois le passage frayé, elle ne trouverait plus de difficultés, que cela lui faisait aussi beaucoup