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Page:Le Joubioux - Doué ha mem bro.djvu/43

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VNE AHG GN PEING. Une jeune fille, appelée Fanchik, Fille intrépide, s’il y en avait au monde, Un pot â la main, était assise sur un escabeaü Pour traire sa vache. La jeune fille chantait, ’ ' Et chantait â pleine tête. — Qu’arrive-t-il de nouveau ? On nentend plus sa chanson ! — Ghose merveilleuse ! au milieu de 1’étable, Une femme, couronnée de clarté, Se lève : «’Se crains point, écoute, « Dit-elle, d’une voix douce et claire : ■ Je ne snis point encore au paradis ; « Je suis encore retenue dans le purgatoire. « Tu peux, ma fille, me tirer du feu ardent « Et m’envoyer â la gloire. « Ya è la maison de Monsieur le Recteur, « Donne-lui les honoraires de trois messes ; « Fanchik , trois fois, jeùne pour moi, « A mon intention, un mois durant, dis une prière « A ma nièce Marie, tu diras ’« D’aller avec toi è Saint-Mathurin ; « Pour la paix de mon âme, vous prierez

  • IA, une heure entière, sur vos genoui.