BIBLIOGRAPHIE 365
conservé à la Bibliothèque nationale (Réserve Y e 4801) : « C’est à ce moment, et pour s’efforcer de la ramener, qu’a été écrite la petite nouvelle qui a pour titre Madame de Pontivy ».
18. — Christel.
Nouvelle publiée dans la Revue des Deux-Mondes du 15 novembre 1839. Réimprimée dans La Bruyère et La Rochefoucauld et dans les Portraits de Femmes.
19. — C.-A. Sainte-Beuve. — Le Clou d’or. — La Pendule. Avec une préface de de M. Jules Troubat. Paris, Calmann Lévy, (Corbeil, imp. Crété), 1881; pet. in-8 carré, 2 f., VIII-91 p., la d. n. ch.
B. F., 8 janvier 1881, n° 453.
Titre rouge et noir. — La Pendule, dédiée « à mon ami Tôpffer, de Genève », est signée Joseph Delorme.
III. — HISTOIRE LITTÉRAIRE. — CRITIQUE. OUVRAGES DIVERS
A. — Monographies.
20. — Tableau historique et critique de la poésie française et du théâtre français au XVIe siècle, par C.-A. Sainte-Beuve. Paris, A. Sautelet et Cie et Alexandre Mesnier, (Imp. de Guiraudet), 1828; in-8, 4 f. (faux titre, titre, dédicace à P. Dubois et préface), et 396 p.
Le faux titre porte : Poésie française au xvi° siècle, tome Ier. Errata, p. 396.
OEuvres choisies de Pierre de Ronsard, avec notice, notes et commentaires, par C.-A. Sainte-Beuve. Paris, A. Sautelet et Cie et Alexandre Mesnier, (Imp. de Guiraudet), 1828; in-8 de XXXV (la dernière, errata, non chiffrée) et 350 p.
Le faux titre porte : Poésie française au xvie siècle, tome II.
Epigraphe de ce vol. : Habent sua fata libelli.
B. F, 19 juillet 1828, n°s 4459 et 4431.
Il existe un prospectus de 4 p. in-8, sorti des presses de l’imprimerie Guiraudet, annonçant la mise en vente de cet ouvrage — dont le prix était de 14 francs— pour le lundi 14 juillet 1828.
Voir (n° 195) la thèse de M. G. Michaut : Quibus rationibus Sainte-Beuve opus suum de XVIe seculo.
20a. — Tableau historique et critique… Seconde édition. Paris, RaymondBocquet, 1838, 2 vol. in-8.
Même édition que la première, avec de nouveaux litres, imprimés chez Terzuolo, semblables pour les deux volumes; seul le faux-titre du deuxième volume porte l’indi