Page:Le Salmigondis tome 1 1835.djvu/199

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LE SCHGLL1N4Ï.

 ]a filfi dWe chaude oumée du mois d’août, uû pauvre orphelin du Dumiries-Shire venait d«  rassembler près de loi tine trentaine de porcs , dont la garde lui clait conliée, et se disposait à faire son repas du soir. Assis sur no roc couvert de bruyère , il pouvait voir couler le Nilh dans la vaste et fertile vallée qui entoure la ville’ de Dumfries , tandis que derrière lui s’élevait la chaîne de montagnes , voisines de TAngleterre , qui termine cette belW* plaine, et semble de toutes parts lui servir de Euurailie. Billy Petterson » néanmoins » s’occupait peu d*admirer ce beau spectacle , un des plus magnifiques de rÉcosse ; car il avait eu tout le temps nécessaire pour en rassasier ses regards : depuis l’âge de