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Page:Le Sylphe - Poésies des poètes du Dauphiné, tome 1, 1887.djvu/137

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POÉSIES DES POÈTES DU DAUPHINÉ I3I LA MARQUISE AURORE VILLANELLE —*§*— Près de Marie-Antoinette, Dans le petit Trianon, Fûtes-vous pas bergerette ? Vous a-t-on conté fleurette Aux bords du nouveau Lignon, Près de Marie-Antoinette ? Des fleurs sur votre houlette, Un surnom sur votre nom, Fûtes-vous pas bergerette? Etiez-vous noble soubrette, Comme Iris avec Junon, Près de Marie-Antoinette ? Pour déniaiser Ninette, Pour idylliser Ninon, Fûtes-vous pas bergerette ? Au pauvre comme au poète, Avez-vous jamais dit : Non, Près de Marie-Antoinette ?