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Amblyrhinchus cristatus, iguane des îles Galapagos.


ERRATA.


I. Sous le titre Voyage d’un naturaliste, pages 139 et 146, on a imprimé : (1858. — INÉDIT). — Cette date et cette qualification ne peuvent s’appliquer qu’à la traduction.

La note qui commence la page 139 donne la date du voyage (1838) et avertit les lecteurs que le texte a été publié en anglais.

II. Dans un certain nombre d’exemplaires, le voyage du capitaine Burton aux grands lacs de l’Afrique orientale, Ire partie, 46e livraison, le mot ORIENTALE se trouve remplacé par celui d’OCCIDENTALE

III. On a omis, sous les titres de Juif et Juive de Salonique, dessins de Bida, pages 108 et 109, la mention suivante : d’après M. A. Proust.

IV. On a également omis de donner, à la page 146, la description des oiseaux et du reptile de l’archipel des Galapagos représentés sur la page 145. Nous réparons cette omission :

1o Tanagra Darwinii, variété du genre des Tanagras très-nombreux en Amérique. Ces oiseaux ne diffèrent de nos moineaux, dont ils ont à peu près les habitudes, que par la brillante diversité des couleurs et par les échancrures de la mandibule supérieure de leur bec.

2o Cactornis assimilis : Darwin le nomme Tisserin des Galapagos, où l’on peut le voir souvent grimper autour des fleurs du grand cactus. Il appartient particulièrement à l’île Saint-Charles. Des treize espèces du genre pinson, que le naturaliste trouva dans cet archipel, chacune semble affectée à une île en particulier.

3o Pyrocephalus nanus, très-joli petit oiseau du sous-genre muscicapa, gobe-mouches, tyrans ou moucherolles. Le mâle de cette variété a une tête de feu. Il hante à la fois les bois humides des plus hautes parties des îles Galapagos et les districts arides et rocailleux.

4o Sylvicola aureola. Ce charmant oiseau, d’un jaune d’or, appartient aux îles Galapagos.

5o Le Leiocephalus grayii est l’une des nombreuses nouveautés rapportées par les navigateurs du Beagle. Dans le pays on le nomme holotropis, et moins curieux peut-être que l’amblyrhinchus, il est cependant remarquable en ce que c’est un des plus beaux sauriens, sinon le plus beau saurien qui existe.

Le saurien amblyrhinchus cristatus, que nous reproduisons ici, est décrit dans le texte, page 147.