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de se retirer dans sa chambre et de se coucher jusqu’à ce qu’elle fût tout à fait remise de toute cette agitation, car il lui était impossible de nous donner nos leçons dans l’état où elle se trouvait ; elle-même la remplacerait le matin et nous donnerait vacances pour l’après-midi en l’honneur de l’heureux événement qui venait d’arriver.

Aussi mes sœurs et moi nous trouvions une nouvelle occasion de nous livrer entièrement et longuement à nos plaisirs amoureux ; mais, malgré la merveilleuse vigueur dont la nature m’a gratifié, je sentis que si je voulais encore jouir de ma chère Aline la nuit prochaine comme je me le promettais, je devais non seulement m’abstenir de tout excès comme je m’y étais livré le jour précédent, mais aussi de chercher à dormir un peu, car je n’avais pas fermé l’œil la nuit précédente ; aussi je me contentai de gamahucher mes sœurs et de les foutre seulement une fois chacune ; puis, de les gamahucher ensuite, les faisant décharger cinq fois, de manière à les satisfaire entièrement sans m’épuiser, et de finir en enculant ma chère Elise pendant qu’elles se ga-