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sieurs fois d’introduire ma pine dans son délicieux, étroit et rose petit trou du cul.

Une fois, par une manœuvre soudaine, je m’arrangeai pour m’introduire au moment où elle déchargeait ; d’un seul coup je pus entrer deux pouces de pine en plus du gland et je crois que je serais parvenu à tout y introduire cette fois-ci, si, par suite d’un trop grand excitement de ma part, je n’avais déchargé moi-même trop rapidement. Ceci avait lubréfié le chemin, et ma pine, qui avait déchargé déjà plusieurs fois, était devenue trop molle et fut chassée de son derrière par les serrements qu’elle faisait avec les muscles de son sphincter ; on aurait dit qu’elle se soulageait naturellement d’un énorme boudin qui se trouvait être de la viande au lieu d’être de la matière ordinaire peu odoriférante. Je m’imaginai à ce moment qu’elle aurait désiré me voir réussir complètement ; cependant je réussis entièrement la nuit qui précéda son mariage : elle était sur ses genoux, la tête baissée sur l’oreiller, mais je me tenais derrière elle, également sur mes genoux, (elle adorait cette manière de foutre, prétendant