Page:Lebrun - Œuvres, tome 4, 1861.djvu/198

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Par ta vieille rivale en secret animées,
Contre tes bords chéris envoyaient leurs armées ;
Si de nouveaux revers par Dieu même permis
Te ramenaient encor tes anciens ennemis,
Sûre de l'avenir, ne verse point de larmes,
Lève les yeux au ciel, et prépare tes armes.