Page:Leconte de Lisle - Poëmes antiques, 1852.djvu/174

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Vous qui flottiez jadis aux lèvres du génie,
Brises des mois divins, visitez-nous encor ;
Versez-nous en passant, avec vos urnes d’or,
Le repos et l’amour, la grâce et l’harmonie !