Page:Leconte de Lisle - Poëmes antiques, 1852.djvu/194

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De ces trésors, Lollius, je ne puis t’offrir rien ;
Mais j’ai des mètres chers à la Muse natale :
La lyre en assouplit la cadence inégale.
Je te les donne, ami ; c’est mon unique bien.