Page:Lefèvre-Deumier - Confidences, 1833.djvu/229

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» Qu’il m’apporte un parfum de l’air où tu respires,
» Un souffle de ta voix, un seul de tes sourires,
» Et te redise, à toi, mes accens oubliés :
» Attends-moi, Maria, pour mourir à tes piés. »