Page:Lefèvre-Deumier - Confidences, 1833.djvu/322

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6. £ell.
Allez-y toujours ! Songez au repentir, et non pas à vos jours.
. a. b’auttttije.
Vers ce pays lointain je ne pourrai me rendre ; J’ignore les chemins, et comment les apprendre ? Sans qu’on me reconnaisse à ma triste rougeur, Comment m’associer aux pas du voyageur ?
6. eai.
Je puis vous épargner le danger d’en dépendre, Écoutez bien : voici la route qu’il faut prendre. A travers les rochers, où serpente son cours, Des chutes de la Reùss remontez les détours….
3. b’3utricl)t. La Rettss !.. elle coulait à côté de mon crime, Je la vois…
S. 8.ell sans l’écouter. Le chemin suit le bord de l’abîme. De distance en distance on rencontre des croix, Que la religion, dans ces sentiers étroits,