Page:Lefèvre-Deumier - Confidences, 1833.djvu/362

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Rien de beau n’existait pour moi dans la nature,
Qui n’eftt de son sourire un reflet pour parure.
Que deviendrai-je donc, si je vois désormais,
Cette nature encore empreinte de ses traits,
Réfléchir, avec eux, l’arrêt de mon veuvage,
Si n’y lisant plus rien qu’à travers son image,
Je vois de l’univers qu’elle m’aura gâté,
Une vapeur de haine embrumer la beauté.

She was a phaotom of delight.
WoRDsWOaTh.

Fantôme de délice, égaré sur ma trace,
Tout, quand elle approchait, s’éclairait de sa grâce :
Je voyais tout en elle, et c’était dans ses yeux
Que les miens apprenaient l’art d’admirer les cieux
Comme un ange qui glisse en des nuages sombres,
Sa légère auréole illuminait mes ombres :