Page:Lefèvre-Deumier - Confidences, 1833.djvu/368

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Je n’irai plus chez vous, galérien de boudoir,
Tendre une main honteuse à vos miettes d’espoir.
J’ai brisé dans mes dents votre coupe d’outrage.
Un jour peut-être, un jour, déplorant votre ouvrage….
Non, non. Soyez contente, et libre de douleur,
Savourez le plaisir d’avoir fait mon malheur,
Pour vous en assurer piétinez la victime :
Quand on n’en jouit pas, on a manqué son crime.

Oh Gott! die Stlrn lie Stlrn !
Die Schlafe bluten ! h strom 'ans Gehiro
Schmilzlkendes Mell im Schdel ! ere
Die Schaale t reich erdrlickel ihre hwete.

Que les liens du cœur font mal en se brisant,
Et comme on les complique, en les analysant !
Quand il faut démolir ce rempart de mensonges,
Où le vice tremblant claquemurait nos songes,
Que d’ignobles brouillards viennent, iivec mépris,
D’un bonheur qui n’est plus corrompre les débris !