Page:Lemoyne - Œuvres, Une idylle normande, 1886.djvu/176

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fit Desmarennes ; mais après-demain, dans la matinée, mes affaires me laisseront libre. Venez tous deux de bonne heure. Pour mieux faire, je vous enverrai prendre en voiture ; puis nous ferons à cheval une excursion jusqu’au bout des grandes prairies. M. Paulet pourra se rendre compte des nouveaux barrages établis sur la rivière, dans l’air vif du matin, et nous n’en déjeunerons que mieux. Qu’en dis-tu, Mésange ?… Seras-tu de la partie ?

— Mais volontiers, mon père.