Page:Lermina - L’Énigme.djvu/104

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instant, stupéfait de voir Germaine, agenouillée.

— Qu’y a-t-il ? demanda Georges.

M. de Samereuil arrive de Paris… il réclame de M. de Morlaines un entretien immédiat…

— C’est bien. J’y vais…

La Germaine s’était relevée. Elle avait de l’écume aux lèvres :

— Vous êtes tous des assassins ! murmura-t-elle. Lui seul était bon… comme la première, la vraie, la seule comtesse de Morlaines…

— Écoute-moi, Germaine, lui dit Georges, dont le visage touchait presque la face parcheminée de la vieille femme, si tu dis un mot… si tu fais un geste dont cette malheureuse ait à souffrir, je te chasse…

— Moi ! me chasser ! tu n’oserais pas !

Mais Georges était déjà sorti…

M. de Samereuil l’attendait dans un petit salon du rez-de-chaussée, servant