Page:Lermitage-1896-Volume12.djvu/335

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faces de désespoir et elles se crispaient en bâillements, elles dardaient de fixes regards, dans la tempête elles aboyaient !

Tout à coup Hans se réveilla, une voix lui criait :

« Te voilà chez toi, à Thjöttö, Hans ! »

Traduit du norwégien de Jonas LIE,
par Geo. KHNOPFF.

(La suite au numéro suivant.)