Page:Les Mille et Une Nuits, trad. Galland, Le Normant, 1806, I.djvu/175

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
139
CONTES ARABES.

eut la complaisance de le satisfaire. Ce visir, répondit-il, après avoir représenté au roi Sindbad que sur l’accusation d’une belle-mère, il devoit craindre de faire une action dont il pût se repentir, lui conta cette histoire :