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Page:Les Mille et Une Nuits, trad. Galland, Le Normant, 1806, III.djvu/14

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LES MILLE ET UNE NUITS,

« Mais, Sire, dit Scheherazade en s’arrêtant en cet endroit, l’aurore qui paroît, m’impose silence. » À ces mots, elle se tut, et le sultan se leva.