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Page:Les Mille et Une Nuits, trad. Galland, Le Normant, 1806, III.djvu/194

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LES MILLE ET UNE NUITS,

Scheherazade, en achevant ces derniers mots, s’aperçut qu’il étoit jour. Elle n’en dit pas davantage cette nuit ; mais le lendemain, elle poursuivit de cette sorte l’histoire d’Alnaschar :