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Page:Les Mille et Une Nuits, trad. Galland, Le Normant, 1806, III.djvu/511

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CONTES ARABES.

chez lui, il demanda pourquoi elles y étoient ; et sur toutes choses, il s’informa des nouvelles de la princesse, sa sœur de lait, qu’il n’avoit pas oubliée. Comme on ne put le satisfaire sur la première demande, sans y comprendre la seconde, il apprit en gros ce qu’il souhaitoit avec bien de la douleur, en attendant que sa mère, nourrice de la princesse, lui en apprît davantage…

Scheherazade mit fin à son discours en cet endroit pour cette nuit. Elle le reprit la suivante, en ces termes, qu’elle adressa au sultan des Indes :