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Page:Les Mille et Une Nuits, trad. Galland, Le Normant, 1806, IV.djvu/59

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CONTES ARABES.

ne le connois pas ; jamais je n’ai eu affaire avec lui, et jamais je n’ai mis le pied dans son royaume. » « C’est ce que vous devez savoir mieux que moi, repartit le capitaine. Vous lui parlerez vous-même ; demeurez ici cependant, et prenez patience… »

Sheherazade fut obligée de mettre fin à son discours en cet endroit, pour donner lieu au sultan des Indes de se lever et de se rendre à ses fonctions ordinaires. Elle le reprit la nuit suivante, et lui parla en ces termes :