Page:Les filles de Loth et autres poèmes érotiques, 1933.djvu/297

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

HENRIETTE

Quand ils l’ont fait, ils nous quittent.

LOUISE

Ils débandent.

HENRIETTE

Tu dis ?…

LOUISE

Ils débandent : leurs pines sont molles et elles se retirent…

HENRIETTE

J’aurais tant aimé dormir…

LOUISE

Une pine dans ton con ?

HENRIETTE

Oui.

LOUISE

Dis-le !

HENRIETTE

Une grosse pine dans mon con.

LOUISE

Les aimes-tu ?

HENRIETTE

Les grosses pines ? Je les aimerais, oui !

LOUISE

Ton mari ?…

HENRIETTE

Petite pine…


— 248 —