Page:Les filles de Loth et autres poèmes érotiques, 1933.djvu/302

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

LOUISE

Comme nous n’avons jamais déchargé. Et la tienne, ta petite amie que lui fais-tu ?

HENRIETTE

Croirais-tu que je n’ai jamais pu la sucer ?

LOUISE

Lui sucer le con.

HENRIETTE

Jamais je n’ai sucé son con.

LOUISE

Tu l’as branlée, ne me le cache pas ?

HENRIETTE

Nous nous branlons.

LOUISE

Eh bien ?

HENRIETTE

C’est la croix et la bannière pour arriver là !

LOUISE

L’aimes-tu toujours ?

HENRIETTE

Oses-tu me le demander ? À présent je la déteste.

LOUISE

Si j’avais une pine…

HENRIETTE

Je dormirais ta pine dans mon con ; et toi ?


— 253 —