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de Dovrdan.

lettres, a vendu & tranſporté les autres deux mil audit monſieur le Duc, ſi comme par les lettres ſur ce faictes puet apparoir, auecques tous les droicts, nobleſſes, fiefs, reliefs, hommages, iuſtices, ſeigneuries, manoirs, maiſons, terres, eauës, bois, prez, fours, moulins, eſtangs, peſcheries, cens, rentes, reuenus, peages, trauers, redeuances, & autres quelſconques appartenances & dependances deſdits Comtez, Chaſteaux, villes & Chaſtellenies telles qu’elles ſoient, & conuient qu’elles ſoient dittes, appellées & nommées, & qu’en icelle luy competent, peuuent & doiuent appartenir comment que ce ſoit, ſauf reſerué & retenu pour ledit monſieur le Comte, l’vſufruict deſdites Comtez, Chaſteaux, villes & Chaſtellenie ſa vie durant tant ſeulement, & le doüaire de madame la Comteſſe d’Eſtampes ſa femme, & cent liures tournois de rente à prendre par ledit monſieur le Comte ſur les terres deſſuſdites, ou aucunes d’icelles, pour donner & tranſporter, ou en ordonner tant en ſa vie comme en ſon teſtament ou derniere voulenté, à perſonnes d’Egliſe, ou autres

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