Page:Lescornay - Mémoires de la ville de Dourdan, 1624.djvu/69

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
55
de Dovrdan.

gnel ſon Chambellan, d’où ſ’enſuit que Burguignel eſtoit ſon fauory, puis qu’il faiſoit des acquiſitions pour luy, & que les faiſant pres Dourdan, c’eſtoit ſigne qu’il y prenoit plaiſir & eſtoit bien aiſe que celuy qu’il aymoit euſt quelque ſujet en ſon particulier de l’y ſuiure & ſe tenir touſiours pres de luy : Car ſans ceſte conſideration pourquoy achepter pour luy donner ? c’euſt eſté pluſtoſt fait, & l’obliger dauantage de luy bailler l’argent que couſtoient ces choſes & luy laiſſer la liberté de l’employer à ſa volonté, ſans le reſtraindre en certain lieu. La ſeconde conſequence eſt tirée de ce qu’en l’année 1255. le Roy rendit aux Religieux de Louye les bois que Philippes Auguſte & Louys VIII.

D iij