Page:Lettres portugaises, 1669.djvu/17

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par de faux ſoupçons ? Et pourquoy feroiſ-je des efforts pour ne me plus ſouuenir de tous les ſoins, que vous auez pris de me temoigner de l’amour ? I’ay eſté ſi charmée de tous ces ſoins, que je ſerois bien ingrate, ſi je ne vous aymois auec les meſmes emportemens,