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XIX


Ma famille japonaise, très nombreuse et se produisant beaucoup ; — un grand élément de distraction pour les officiers du bord qui me visitent là-haut, surtout pour le komodachi taksan takaï (l’ami d’une extrême hauteur).

Une belle-mère charmante, tout à fait femme du monde ; des petites belles-sœurs, des petites cousines, et des tantes jeunes encore.

J’ai même, au second degré, un cousin pauvre qui est djin. — On hésitait à m’en faire l’aveu, de ce dernier ; mais voici que, pendant la présentation, nous avons échangé un sourire de connaissance : c’était 415 !