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XXV


Je continue, malgré la distance plus grande, d’aller chaque jour à Diou-djen-dji. La nuit tombée, quand les quatre ménages amis du mien sont venus nous rejoindre, Yves aussi, et l’ami d’une surprenante hauteur, nous redescendons en bande vers la ville, dégringolant aux lanternes par les escaliers et les rampes du vieux faubourg.

Toujours pareille, cette promenade nocturne, avec des amusements semblables : mêmes stations devant les étalages baroques, mêmes boissons sucrées servies dans les mêmes jardinets. Mais notre bande est souvent très augmentée ; d’abord, nous emmenons Oyouki, que ses parents nous