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LE ROMAN D’UN ENFANT

ne comprendra plus ; que deviendront ces pauvres petits riens que je chéris ?

Cette corbeille à ouvrage de maman et ces tiroirs de chiffonnière, c’est sans doute ce que j’abandonnerai avec le plus de mélancolie et d’inquiétude, quand il faudra m’en aller de ce monde…

Très puéril en vérité, et j’en suis confus ; — cependant je crois que je pleure presque, en écrivant cela…