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sale enculée ! sale maquerelle ! sale putain ! Tu ne veux pas qu’on t’appelle comme ça ? Putain ! Putain ! Putain ! Putain ! Putain ! Putain ! Putain ! Putain ! Putain ! Putain ! ! Fille de putain ! Mère de putains, gousse de putains, branleuse de putains. Je ne suis pas une putain, moi, je suis une pucelle ! Tu as laissé vendre ton pucelage par ta putain de mère, mais moi je ne suis pas une andouille comme toi ! je ne te laisse pas vendre mon pucelage, je le donne ! Tiens, regarde-le, sale maquerelle ! regarde-le, ma garce ! tu en voulais cent louis, tu n’en auras pas cent sous ! tu n’en auras que du foutre et du sang dans la gueule ! »

Debout, les cuisses écartées, la tête en avant, elle ouvrait des deux mains les lèvres de son sexe. Puis elle les referma et parla plus vite de la même voix sourde et haineuse.

« Oui, j’en ai assez de montrer mes nichons dans ton bordel d’enculées ! dans ton bordel de suceuses et de putains à tout faire ! J’en ai assez de te voir à table ramener un filet de foutre à la pointe de ton cure-dents et rire quand tu ne sais plus qui tu as pompé ! J’en ai assez de coucher dans les draps où il n’y a pas une place de sèche, parce que tout le bordel y décharge, les michés, les maquereaux, les gousses et les putains ! J’en ai assez de trouver sur ma toilette une serviette où il y a de la merde, chaque fois qu’un de tes amoureux s’est essuyé la pine dedans. Vache ! Ordure ! Fumier ! Chameau ! Fille de garce ! Moule à bites ! Gueule de chiottes ! Marchande de chaude-pisse ! Lécheuse de derrières ! Avaleuse d’étrons ! Bouffeuse de vérole ! Compte