Page:Luchet - Le Vicomte de Barjac, Tome I.djvu/142

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ouvert qu’aux gens qui, comme vous, sont dignes d’être initiés aux mystères de notre art. Je suis guérie des grandes passions traînant à leur suite tant de contraintes ; mais sujette encore aux caprices expéditifs, cette invention est merveilleuse pour les passer. Que de jours précieux nous eussions perdus dans les langueurs du sentiment ! Nous savons maintenant à quoi nous en tenir. Si vous m’aviez aimée avec moins de chaleur, un incognito sévère vous laissoit à jamais dans la plus ténébreuse ignorance ; mais vos procédés me prescrivirent absolument une autre marche. — Ce dénouement, repliqua le Vicomte, est