Page:Luzel - Soniou Breiz Izel vol 2 1890.djvu/319

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   (Je pourrais) le voir et nuit et jour,
Et dormir l’ayant à mon côté,

   Au lieu que le pauvre cher matelot
Est, jour et nuit, en péril de la grève ;

   Est jour et nuit à se trémousser,
Sur deux bouts de planche à se bercer.


Veuve Peutite. — Kerbors, 1888.
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