questions de mécanique.
Ce Mémoire est le complément de celui que j’ai lu à l’Institut en 1809, sur le-même sujet, et qui a été imprimé dans le quinzième cahier du journal de l’École polytechnique. J’ai donné alors un systême de formules qui expriment directement les différentielles des constantes arbitraires, devenues variables, au moyen des différences partielles d’une certaine fonction dépendante des forces qui les font varier, prises par rapport à ces mêmes constantes ; et j’ai démontré d’une maniere directe que les coëfficients de ces différences partielles sont des fonctions des constantes, qui ne renferment pas le temps explicitement. On trouve ensuite, dans ce Mémoire, l’application de ces formules générales à deux questions différentes : au mouvement d’un point attiré vers un centre fixe, suivant une fonction indéterminée de la distance, et au mouvement de rotation d’un corps solide de figure quelconque. Un calcul très-long, dont